Ufologie mondiale

La vague belge sur National Geographic Channel InternationalLe 3 mars 2013

La chaîne télévisée de la prestigieuse National Geographic Society vient de diffuser une série sur les OVNI en Europe, intitulée « Europe Untold Stories », dont un épisode concerne certains événements de la vague belge de 1989-19931.

Ces documentaires ont été réalisés en sous-traitance par une société londonienne, Pioneer Productions, qui m’avait contacté début 2012 pour avoir accès aux archives de la SOBEPS, en particulier aux documents relatifs au 29 novembre 1989, à des informations concernant la photo de Petit-Rechain et à l’affaire des F16. Bref : aux désormais “classiques” de la vague belge. Dans un premier temps, j’ai répondu que je ne souhaitais plus participer à ce genre de projet car cela avait déjà été amplement traité, et trop rarement de manière satisfaisante. Comme à l’accoutumée, ils ont alors insisté en expliquant que leur démarche, contrairement à celle de tous les autres (National Geographic oblige !), était différente, plus rigoureuse et soucieuse du respect des faits... Rapidement, cependant, j’ai compris qu’ils ne connaissaient strictement rien au sujet (une fois de plus !) et qu’ils suivraient le même canevas déjà maintes fois répété par d’autres équipes. J’ai donc demandé qu’ils m’envoient un script, afin d’en savoir plus sur leurs intentions exactes. D’emblée, il me fut répondu que ce n’était pas possible. En conséquence, j’ai décliné leur requête.

Quelques semaines plus tard, une productrice de cette société anglaise m’a retéléphoné pour tenter de me faire changer d’avis. Entre-temps, j’avais appris, par Internet et par un de mes correspondants, que Pioneer Productions avait malgré tout projeté de venir en Belgique, avait pris contact avec l’auteur de la photo de Petit-Rechain, et comptait interviewer différentes personnes. Un appel à témoins avait même été diffusé sur certains sites. Par la suite, le Professeur Meessen devait me confirmer qu’il avait accepté de les rencontrer. Par souci de ne pas laisser des contradicteurs occuper seuls la scène et fournir aux réalisateurs une version unique des faits, j’ai fini par convenir de les aider et de leur procurer des archives. Ils m’ont alors demandé de trouver un témoin de la vague belge voulant bien faire état de son observation. Pour ne plus solliciter ceux qui avaient déjà apporté leur contribution, j’ai songé à notre collaborateur Albert Rowies, qui s’est aimablement mis à leur disposition. Il semble que le récit de son observation ne soit pas trop mal rendu, du moins dans les grandes lignes. En revanche, le traitement de la première observation des gendarmes d’Eupen, en date du 29 novembre 1989, la plus importante puisque qu’elle ouvre officiellement la vague belge, me choque et me navre pour de multiples raisons. Je ne doute pas que le Professeur Meessen leur aura donné tous les renseignements utiles à ce propos et, moi-même, je leur ai confié de la documentation pouvant les éclairer. Ils ont repris contact avec moi par trois fois pendant la phase de montage de l’épisode belge afin d’obtenir des compléments d’information. Il y avait donc une apparente volonté de coller à la réalité des choses. Par trois fois, je les ai encouragés à consulter les livres de la SOBEPS que je leur avais donnés, et à se rendre sur le site du Professeur Meessen où tous les détails sont disponibles. J’ai néanmoins vite compris qu’ils n’avaient pas le temps et que - une fois de plus - les choses allaient être expédiées. Pour ma part, je trouve le résultat tout bonnement affligeant et regrette grandement ce travers dans lequel tous tombent pour sacrifier à la mode : conférer au film le rythme et le ton d’un thriller et, à grand renfort d’effets spéciaux, l’aspect d’un épisode de science-fiction. C’est déplacé et ça en devient insupportable. A titre d’exemple, je n’épinglerai ici que quelques erreurs manifestes qui feront, à coup sûr, le jeu des contradicteurs. Pour commencer, voici la reconstitution par Pioneer Productions de l’objet décrit par les gendarmes d’Eupen :

Comparez avec le dessin établi par le Professeur Meessen, sur son site1 :
L’ovni observé de très près par les gendarmes von Montigny et Nicoll

Non seulement la forme de l’objet reconstitué par les graphistes de Pioneer Productions est erronée, mais la disposition et le diamètre des lumières ne sont pas du tout conformes aux témoignages des deux gendarmes dont des éléments extrêmement importants sont totalement absents. Il suffit de se référer à ce qu’avait relaté le Professeur Meessen voici plus de vingt ans déjà : ce qui a attiré l’attention des gendarmes, tandis qu’ils circulaient sur la route d’Eupen vers Eynatten, c’est la présence dans une prairie, à leur droite, d’une « tache de lumière très intense ». Pour rendre compte de l’intensité de l’éclairage, « aussi puissant que celui d’un stade de football », ils ont utilisé cette formule imagée : « On aurait pu y lire la gazette » ! C’est à ce moment-là que le gendarme assis du côté de la prairie illuminée a baissé la vitre de la voiture et a vu « une grande plate-forme immobile dans le ciel [...]. La face inférieure de la plate-forme est dotée de ‘trois énormes phares’ orientés vers le bas. Les contours des phares sont circulaires et l’on peut bien discerner les limites des trois cônes de lumière blanche qui en émergent et se prolongent jusqu’au sol ». Rien de tout ceci n’est rendu dans la reconstitution infographique faite par Pioneer Productions, qui a proprement escamoté ces trois phares qui, aux dires des témoins, mesuraient au moins 1 mètre de diamètre2. On est loin, très loin de ce qui est illustré à l’écran et qui occulte cet épisode important ! Or, ce sont précisément ces détails qui font toute la différence avec un appareil conventionnel et il va sans dire que ce sont ces caractéristiques qui ont immédiatement interpellé les gendarmes. Omettre ces éléments cruciaux est particulièrement dommageable et va donner du grain à moudre aux opposants qui verront ces images sans avoir en main les données exactes. Ces indices d’étrangeté une fois gommés, il devient alors simple pour eux de réduire ce qui est relaté par les témoins à une prosaïque méprise avec un objet connu mal percu ou un phénomène naturel mal interprété. C’est d’ailleurs très exactement ce qui se passe dans cette production télévisuelle où, tout au long de l’épisode interviennent des sceptiques qui peuvent alors aisément proposer des explications triviales pour démystifier ce qui a été (faussement) reconstitué sur base des (soi-disant) témoignages.

Plus grave encore est la restitution de la phase de l’observation qui s’est déroulée au-dessus du barrage de La Gileppe : ce qui est représenté dans la recréation infographique de Pioneer Productions n’a en réalité jamais eu lieu. En fait, le second objet décrit par les gendarmes a brusquement surgi à côté d’eux, de derrière un rideau d’arbres (comme s’il avait été « catapulté », précisèrent-ils), tandis qu’ils observaient un phénomène qui se produisait à plus de quatre kilomètres d’eux, au-dessus de la tour du barrage. A aucun moment, les témoins n’ont décrit un premier objet à côté d’un second second, ni ce rayon rouge vertical descendant vers la surface du lac, comme figurés ici3 :


Ce qui a été observé à l’aplomb de la tour du barrage durant cette phase, n’était pas un objet triangulaire sombre mais “une ‘boule blanche’ presque ponctuelle”, dont voici un croquis fait par l’un des témoins4 :

Le dessin de von Montigny de ce qu’il a vu au-dessus de la tour de la Gileppe

Pour ce qui est du phénomène lumineux qui accompagne cette observation, il n’y avait pas qu’un seul faisceau, vertical, mais bien deux et ils étaient à l’horizontale5 :

Représentation schématique de deux phases du « phénomène des boules rouges »

Encore une fois, la reconstitution banalise et réduit les faits (un faisceau unique vertical aurait à la rigueur pu être celui d’un phare chercheur, par exemple, comme on en trouve sur certains hélicoptères mais ce n’était nullement pas le cas ici. Ces déformations et omissions d’éléments particulièrement importants sont révoltantes. Il est à noter que c’est loin d’être la première fois que de gros moyens sont ainsi mis en oeuvre pour tenter de restituer ce cas remarquable et que le résultat est n’est pas le reflet de ce que les témoins ont rapporté. Ainsi déjà en 1991, lors de la reconstitution de l’observation des deux gendarmes d’Eupen dans l’épisode de la très populaire émission américaine Unsolved Mysteries, les objets décrits avaient été rendus d’une manière des plus spielbergiennes (sic !)6 :


Je me suis limité à juger ici des faits que nous connaissons bien ; pour ce qui est des autres sujets abordés dans les différents épisodes, je ne puis cependant m’empêcher de m’interroger sur la manière dont les faits ont été ou non scrupuleusement respectés... Je note encore que plusieurs de mes commentaires ont été proprement coupés ou tronqués au montage, procédé aussi courant qu’inadmissible, devenu pratique courante ne suscitant apparemment plus guère d’émoi.

Chaque fois que j’ai été sollicité par des équipes de télévision, j’ai proposé de visionner le film une fois arrivé en fin de montage avant l’édition du « prêt à diffuser » afin de vérifier si tout avait été convenablement rendu et traité, dans le but d’éviter de fâcheuses erreurs grossières. Chaque fois, il me fut répondu qu’une telle chose était impossible. Ceci est tout bonnement ridicule ; étant réalisateur, je suis bien placé pour savoir que c’est possible... à la seule condition de le vouloir. Il est en effet étonnant de voir que lorsque les collaborateurs de ces équipes ont besoin de notre aide et de nos archives, ils mettent tous les moyens en œuvre pour que cela puisse se faire dans les plus brefs délais. Mais une fois la post-production en voie d’achèvement, plus rien ne semble possible. Cela ne requiert pourtant qu’un minimum d’organisation. C’est un véritable comble de voir que les chercheurs déploient des efforts considérables pour collecter un maximum de détails pour tenter de comprendre au mieux ce qui s’est passé et de restituer le plus fidèlement et le plus méticuleusement possible les phases d’une observation... alors que ces grands médias galvaudent ainsi sans vergogne un travail de longue haleine accompli à grand peine par des bénévoles, à seule fin de faire du divertissement et.. de l’audience ! Il est évident que la popularité du National Geographic fera que cet épisode sera vu par le plus grand nombre partout dans le monde. Hélas, trois fois hélas, les images qui seront retenues sont totalement fausses et alimenteront des fantasmes. Puisqu’il y a eu sous-traitance, il se peut effectivement que la responsabilité des commanditaires ne soit pas à mettre en cause mais il n’empêche que les séquences concernant la vague belge dans l’épisode « Europe Untold Stories » réalisé par Pioneer Productions constituent une désinformation pure et simple qui est inacceptable et doit être dénoncée.

Patrick Ferryn

OVNI et sites nucléaires13 septembre 2011

Le 27 septembre 2010 s’est tenue à Washington une étonnante conférence au National Press Club réunissant un panel de sept officiers de l’US Air Force, à présent retraités, qui tous ont témoigné avoir vécu des incidents impliquant des OVNI qui auraient désactivé des missiles nucléaires dans diverses bases américaines...

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Coalition for Freedom of Information - Washington, D.C.12 novembre 2007


Une conférence internationale s’est tenue à Washington, D.C. le 12 novembre 2007, au National Press Club, à laquelle avait été invité le Général Wilfried De Brouwer, qui fut Chef des Opérations de la Force Aérienne Belge durant la vague de 1989/91.

Sponsorisée et organisée par le réalisateur de films documentaires James Fox et la journaliste Leslie Kean (The Coalition for Freedom of Information), et dirigée par Fife Symington, ex-gouverneur de l’État de l’Arizona, la conférence a réuni d’anciens militaires et hauts responsables qui ont fait part de témoignages importants, dans le but d’inciter les gouvernements à prendre au sérieux le problème des OVNIS et promouvoir une collaboration au niveau international avec les autorités militaires. Chaque intervenant a pris la parole pendant trois minutes. Un compte-rendu de leur déclaration figure ci-dessous. Un second texte, également reproduit ici - un appel à l’intention du gouvernement américain - à été signé par tous les participants (à l’exception toutefois de Claude Poher).

Le lendemain, le Général De Brouwer a pris la parole pendant 40 minutes et fait une présentation des événements importants qui se sont déroulés en Belgique en 1898/91, au grand étonnement du public présent, qui n’en n’était que peu informé. Des photos et le texte anglais se rapportant à cette réunion peuvent se voir sur le site suivant :
http://www.ufosontherecord.com/

Déclaration internationale aux États-Unis d’Amérique
Facilitée par la coalition pour la Liberté d’Information
12 Novembre 2007

Préambule

Nous, les signataires mentionnés ci-dessous, ayant effectué une carrière ou ayant reçu une formation au sein du gouvernement, dans l’aviation ou dans l’armée, présentons cette déclaration comme le résultat de notre expérience et motivation communes. Lorsque nous étions actifs, chacun d’entre nous a été témoin d’un incident impliquant un objet volant non identifié ou a mené une enquête officielle de cas d’OVNI ayant un rapport avec la sûreté de l’aviation, avec la sécurité nationale, ou pour le bénéfice de la Science.
Nous employons le terme “objet volant non identifié” (OVNI) pour simplement désigner tout phénomène aérien qui ne peut être identifié ou expliqué, définition utilisée pour la première fois par l’US Air Force dans les années cinquante. Nous ne présageons rien de la nature ou de l’origine de ces objets.
Alors que la plupart des apparitions d’OVNI peuvent être expliquées comme des erreurs d’identification d’objets connus ou de phénomènes naturels, les gouvernements qui les ont étudiés, y inclus certains signataires qui furent membres de leur équipe, ont de manière persistante découvert qu’un faible pourcentage des observations défient toute explication conventionnelle. Les rapports de ces incidents impliquent régulièrement des témoins dignes de foi tels que des officiers de police, du personnel militaire, des pilotes et des aiguilleurs du ciel ainsi que l’existence d’une documentation bien étayée et officielle.

Dès lors

Nous croyons qu’en raison des questions de sécurité nationale et de sûreté de l’aviation, chaque pays devrait consentir à fournir un effort pour identifier tout objet circulant dans son espace aérien. Suite aux attaques du 11 septembre, il n’est plus satisfaisant d’ignorer les signaux radar pour lesquels les données des transpondeurs sont disponibles et/ou ne peuvent être associées avec les performances des avions et hélicoptères existants. Tandis que les radars et les aiguilleurs du ciel se basent principalement sur des radars secondaires, les radars militaires de défense devraient être configurés de telle manière à ce qu’ils puissent détecter et suivre à la trace tout objet aérien, même lorsque celui-ci est statique, évolue à très basse ou à très haute vitesse.
A cet effet, nous nous référons à un incident qui est survenu a l’aéroport international d’O’Hare en novembre 2006 lorsqu’un disque métallique fut observé en vol stationnaire au-dessus du terminal de United Airlines durant plusieurs minutes. Puisque ce vol ne fut pas détecté au radar, l’Administration fédérale de l’aviation a refusé d’enquêter. Cette administration n’a également pas accepté les nombreux rapports corroborant, établis lors de face à face entre des pilotes de l’United Airlines et d’autres membres du personnel, qui rejetaient l’observation comme étant d’origine météorologique.
Nous suggérons que le préjugé pesant dans le terme “OVNI” et envers les rapports anonymes puisse conduire les employés à écarter toute observation d’objets aériens non conventionnels ou de véhicules aériens sans pilote servant à des activités d’espionnage ou à des activités terroristes, en particulier lorsque les échos radar ne sont pas disponibles.
De nombreuses observations ont également été ignorées lorsque le radar n’est pas impliqué. Même lorsque des centaines de citoyens furent témoins d’un objet triangulaire massif traversant le ciel de l’Arizona en 1997, le gouvernement américain ignora les enquêtes des fonctionnaires de l’État à ce sujet. De plus, il n’a jamais offert aucune explication publique relative à cette intrusion de l’espace aérien américain par une étrange et inconnue machine volante. Nous croyons que ce type de désengagement représente à la fois une opportunité manquée et un risque potentiel. Nous maintenons qu’un public intéressé à le droit d’être informé sur les faits relatifs aux incidents d’OVNI qui sont bien documentés et qui impliquent de nombreux témoins. De plus, la Science manque de connaissances qui pourraient être développées par l’étude de tels évènements impliquant des objets faisant preuve de vitesses, de manœuvres ou d’autres caractéristiques qui défient notre paradigme scientifique actuel.

Appel aux actes :

Nous, soussignés, demandons aux États-Unis d’Amérique de coopérer et de se joindre aux gouvernements qui ont déjà établi leur agence d’investigation suite à leur reconnaissance de l’existence du phénomène OVNI et de problèmes de sûreté de l’aviation. En suivant les traces du défunt projet “Blue Book", nous proposons que l’ US Air Force recommence ses efforts de recherche, ou que la National Aeronautics and Space Administration initie un tel effort afin de répondre aux questions internationales et afin de donner une assurance nécessaire ainsi qu’une compréhension scientifique croissante. Nous demandons aux USA de se saisir de la question et de s’engager avec nous et avec des fonctionnaires autour du globe de manière à traiter ce problème via un dialogue constant, en commençant avec le groupe de certains signataires mentionnés ci-dessous à Washington, le 12 Novembre 2007.

Signataires :

Vasily Alexeyev - Major General, Russian Air Force, Space Communications Center in Russia
Ricardo Bermudez S. - General, Brigada Aérea (Ret.); Former President of the CEFAA, Chile
Ray Bowyer - Captain, Aurigny Air Services, Channel Islands, UK
Wilfried De Brouwer - Major General, Deputy Chief of Staff Operations and Planning (Ret.) Belgian Air Force
John Callahan - Division Chief of Accidents, Evaluations and Investigations, FAA (Ret.)
Don C. Donderi, Ph.D. - McGill University; Contract Researcher, Dept. of National Defence, Canada
Julio Cesar Chamorro Flores - Comandante Peruvian Air Force (Ret.); Founder of the OIFAA, 2001
Rodrigo Bravo Garrido - Officer Chilean Army, Military Pilot, Associate with CEFAA
Richard F. Haines, Ph.D. - Sr. NASA Research Scientist (Ret.)
Charles I. Halt - Col. USAF (Ret.), Former Director, Inspections Directorate, DOD I.G.
Parviz Jafari – General, Iranian Air Force (Ret)
Denis Letty - Major General, French Air Force (Ret.); Chairman of COMETA
Oscar Santa Maria - Commander and Fighter Pilot of the Peruvian Air Force (Ret).
Anthony Choy Montes - Lawyer, researcher with the OIFAA, Peruvian Air Force, 2001-2003
James Penniston – TSgt, US Air Force (Ret.)
Nick Pope - Ministry of Defence, UK, 1985-2006
Jean-Claude Ribes - Astronomer, Centre National de la Recherche Scientifique, France, 1963-1998
Yves Sillard - Chair of the Steering Committee, GEIPAN in France
Fife Symington III - Governor of Arizona, 1991-1997
Contact: Leslie Kean
www.ufosontherecord.com/

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Mercredi 14 Novembre 2007
Sujet: Témoignage

L’autorisation est donnée de communiquer ce qui suit à condition d’attribuer la source à Steve Kaeser et au UFO UpDates List. Le témoignage de chacun est communiqué à ceux qui ont participé au briefing du National Press Club de lundi. L’ordre des présentations est comme suit :

Résumé du Major Général Wilfried De Brouwer



Mon nom est Wilfried De Brouwer. Je suis Major Général de la Force Aérienne belge, à la retraite, et j’ai été le Chef des opérations au sein de l’Armée de l’Air lorsqu’une vague exceptionnelle d’observations d’OVNI se déroula en Belgique. En effet, durant la nuit du 29 novembre 1989, environ 140 observations d’OVNI furent recensées dans une surface réduite de l’est de la Belgique. Des centaines de personnes ont vu un majestueux engin à une distance d’environ 36 mètres, avec de puissantes lumières, se déplaçant lentement sans émettre le moindre bruit mais, dans certains cas, en faisant preuve d’accélérations soudaines et de vitesses très rapides.
De nombreuses observations furent constatées dans les jours et les mois qui suivirent. Cette vague d’OVNI dura plus d’une année durant laquelle une organisation belge d’étude des OVNI mena plus de 650 enquêtes et enregistra plus de 400 heures de témoignages audio. À cette occasion, une photographie révéla la forme triangulaire et les 4 sources lumineuses de l’objet.
Le Royaume de Belgique ne disposait pas de point de contact officiel où les observations d’OVNI pouvaient être rapportées. Néanmoins, en ma qualité de chef des opérations, j’ai été confronté à de nombreuses questions sur l’origine et la nature de ces engins. En premier lieu, et en consultation avec les partenaires de l’OTAN, j’ai pu confirmer qu’aucun appareil ou avion furtif ou tout autre objet volant expérimental n’a survolé l’espace aérien belge. De plus, les autorités de l’aviation civile ont confirmé qu’aucun plan de vol n’avait été dépose. Ceci implique que le ou les objets incriminés ont commis une violation des règles existantes en matière d’aviation.
La Force Aérienne belge a tenté d’identifier les soi-disant intrus et, à trois occasions, a demandé le décollage de F16. A une occasion, deux F16 ont enregistré des changements rapides dans la vitesse et l’altitude de l’objet, changements qui furent bien au-delà des performances des avions existants. Les pilotes ne purent établir un contact visuel et l’enquête révéla que les conditions climatiques pourraient avoir causé des interférences magnétiques et des retours erronés sur les écrans radar. La preuve technique fut insuffisante pour conclure que des activités aériennes anormales se déroulèrent durant cette nuit-là.
En résumé, la vague belge d’OVNI fut exceptionnelle et la Force Aérienne ne put identifier ni la nature, ni l’origine ou les intentions du phénomène observé.

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Résumé du Dr Claude Poher



Bonjour, je suis le Dr Claude Poher, astrophysicien à la retraite et ingénieur à la recherche spatiale du Centre National des Études Spatiales (CNES), l’équivalent français de la NASA. J’ai été le fondateur du GEPAN, un groupe d’étude des phénomènes aérospatiaux, qui fut une agence officielle dédiée à l’étude des rapports d’observations d’OVNI, et qui demeure active de nos jours, sous l’appellation de GEIPAN.
A l’origine, je me suis documenté sur l’existence des rapports officiels américains d’OVNI dans les années soixante, via le Dr J. Alien Hynek, le célèbre consultant astronome du projet “Livre Bleu” (Blue Book) de la US Air Force. J’ai alors commencé à enquêter sur les rapports officiels français relatifs aux OVNI et à entreprendre des analyses scientifiques des données. Quinze années plus tard, j’ai reçu l’accord du CNES de créer et de diriger le GEPAN, et ce en 1977.

J’ai formé nos premiers enquêteurs, en leur enseignant la méthodologie pour mener des enquêtes officielles afin de produire divers types de rapports, depuis les cas de lumières dans la nuit jusqu’aux atterrissages avec preuve physique et observations des occupants. Nous étions un comité directeur scientifique et indépendant. Le comité émit la recommandation de continuer ce travail durant les deux années où je fus à sa direction. Par exemple, j’ai entrainé nos enquêteurs sur le cas CUSSAC, où au mois d’août 1967, deux jeunes témoins furent alertés par l’agitation inhabituelle d’animaux de ferme durant l’heure de midi. Ces témoins ont alors observé un OVNI sphérique ayant atterri à une distance d’environ 75 mètres et à proximité duquel se tenaient quatre occupants.
Une très intense lumière fut décrite après un décollage lent, lumière entraînant des effet physiologiques sur les yeux des témoins, effets qui furent d’ailleurs confirmés par le maire du village. Le sifflement décrit par les deux témoins fut également perçu par le garde-chasse du village. L’accélération de l’OVNI après son décollage vertical fut estimé par les experts du GEPAN à environ une centaine de G. Les occupants ont été vus flottants dans l’air lorsqu’ils entraient dans l’engin, à partir de son sommet et en toute hâte.
Les traces physiques de l’engin sur le sol furent constatées par la police locale, tout comme une odeur d’oxyde de soufre. Les experts du CNES en météorologie et en débris spatiaux ont travaillé sur le site avec les témoins, également avec un juge, un psychologue, un ingénieur optique et un ingénieur aéronautique. Ils prirent une série d’équipements de mesure et travaillèrent également avec la police. La conclusion officielle du GEPAN en 1979 était qu’environ 15% des cas demeurent non identifiés à la suite d’une analyse détaillée menée par nos experts. Nos conclusions furent que ces objets, dans la plupart des cas, étaient compatibles avec les machines volantes dont les caractéristiques physiques de vol étaient étrangères aux connaissances des experts.

Ce que je viens d’énoncer est lié au passé. Nous avons maintenant des faits expérimentaux récents, en relation directe à mon engagement au sein du GEPAN et comme enquêteur d’OVNI qui je pense est de grande importance pour notre futur et pour la manière dont vous devriez à présent traiter les observations d’OVNI aux USA.
Après avoir quitté le GEPAN tout en restant au CNES, j’ai continué à travailler sur le sujet des OVNI dans le domaine de la physique théorique. En avril dernier, la théorie physique au sujet de la gravitation et de l’inertie sur laquelle je travaille depuis 1980, fut testée avec succès en laboratoire.
En effet, j’ai breveté et testé des appareils capables de reproduire, en laboratoire, les causes des effets étranges qui sont décrits dans les rapports d’observations d’OVNI. Je parle ici des effet dus à des accélérations incroyables, des virages serrés, des arrêts brusques, l’émission puissante de lumière, une vitesse supersonique silencieuse, etc...
Ces résultats expérimentaux sont actuellement prêts à être prouvés dans mon laboratoire à Toulouse, pour des scientifiques qualifiés, des journalistes scientifiques et des représentants industriels, y inclus ceux des USA.
Merci pour votre attention.

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Résumé de Jean-Clause Duboc



Mon nom est Jean-Charles Duboc et je suis commandant de bord d’Air France à la retraite. Lors du vol 3532 venant de Nice vers Londres, le 28 janvier 1994, j’ai observé, avec mon équipage, un OVNI en plein jour à proximité de Paris. Nous avions peu de passagers à bord et aucun n’a rapporté l’observation à l’équipage.
Il était 13 heures et la visibilité était excellente avec seuls quelques altocumulus.
Un objet a été identifié premièrement par un steward qui se trouvait dans le cockpit et par le copilote comme étant un ballon météo, mais lorsque je l’ai identifié, il en différait beaucoup.
Cet OVNI évoluait et ressemblait à ceci (je dois alors montrer un croquis), avec un angle de 45°. Cela ressemblait à un énorme disque volant. Il s’est stabilisé et à cessé de bouger.
Nous l’avons observé durant plus d’une minute sur la gauche de notre avion, étant de manière surprenante en vol stationnaire dans le ciel, et il a ensuite disparu progressivement.
Cet objet très grand évoluait en dessous de nous, à une altitude d’environ 10500 mètres (nous étions à environ 11500 mètres), et à une distance d’environ 46 kilomètres. La couleur était rouge-brun avec des contours flous. Le diamètre apparent de l’objet pouvait se comparer à celui de la Lune ou du Soleil. Cela signifie que celui-ci devait être d’environ 305 mètres. Nous n’avions aucune idée de la structure de cet OVNI qui semblait scellé dans ce qui ressemblait à un champ magnétique ou gravitationnel, avec aucune lumière ni structure métallique visuelle, ce qui lui donnait une apparence réellement floue. Le plus incroyable est que son aspect devint transparent et il disparu en 10 à 20 secondes. Mon copilote, steward en chef et moi-même avons réalisé rapidement que ce que nous venions de voir ne ressemble à rien qui nous soit connu, et nous avons référé nos observations au contrôle du trafic aérien de Reims. De manière simultanée, le radar du centre opérationnel de la défense aérienne (CODA) a enregistré durant une minute un point qui a croisé notre vol. Lorsque j’ai rapporté la position estimée de l’OVNI sur une carte aéronautique j’ai été surpris de constater qu’elle était derrière la base de Taverny qui abrite les quartiers généraux du contrôle aérien des forces stratégiques.
Cette observation a été étudiée par le groupe militaire français COMETA sous la direction du général Denis Letty et avec la participation de plusieurs haut gradés de la défense française, ainsi que le GEPAN sous le CNES.
Les enquêtes ont conclu que ceci ne pouvait pas être un ballon météo et que la longueur estimée de l’OVNI était d’environ 240 mètres.
Cette observation demeure inexpliquée.

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Résumé de Jean-Claude Ribes



Mon nom est Jean-Claude Ribes et je suis astronome, travaillant pour le centre national français de la recherche scientifique de 1963 à 1998. J’ai contribué au rapport COMETA, un étude militaire sur les OVNI et la Sécurité nationale, étude ayant été menée durant 3 années et rendue publique en 1999. J’ai travaillé plus récemment pour le livre Phénomènes aérospatiaux non identifiés, sous la direction d’Yves Sillard, président du comité directeur du GEIPAN. Il m’a demandé de le représenter, tout comme le GEIPAN, aujourd’hui. Le général Denis Letty, président du groupe COMETA, m’a également demandé de le représenter ici car il fut dans l’impossibilité de venir.
Le rapport COMETA a été écrit principalement par des militaires haut gradés de l’institut français des hautes études de la défense nationale. Il analyse les explications possibles d’observations d’OVNI et leur implication en terme de défense, avec l’hypothèse extraterrestre présentée comme étant la plus logique, même si elle n’est pas prouvée formellement. Quelques recommandations sont formulées, incluant que tous les dirigeants de l’armée, de la police, des responsables politiques et pilotes soient informés à propos des OVNI; que les systèmes de détection soient modifiés afin de prendre en considération les OVNI; et que le gouvernement français prenne contact avec celui des USA et d’autres partenaires afin d’initier une collaboration sur ce sujet. A ce stade, les recommandations n’ont pas été suivies d’effet.
Cependant, en mars dernier, mon pays a fait un grand pas en avant. Jacques Patenet, le directeur actuel du GEIPAN a rendu public les dossiers OVNI. Ils ont été mis en ligne sur un site internet, ce qui représente plus de 1600 observations durant cinq décennies. Quelques cas impliquent des observations multiples et des preuves physiques comme des marques et points radars. D’autres ont pu documenter les OVNI avec des plans de vol ou des accélérations qui défient les lois de la physique. Mr Patenet a déclaré à la Presse que nous n’avions aucune preuve que des extra-terrestres soient derrière ces phénomènes, tout comme nous n’avons pas la preuve qu’ils n’y soient pas.
Le comité directeur du GEIPAN joue un rôle important, avec des représentants de l’Armée, de la Police, de l’aviation civile, de la météorologie et de la communauté scientifique. Ce comité assure les meilleures conditions dans la collecte de rapports en informant les agences impliquées dans les enquêtes et en protégeant les témoins qui exigent l’anonymat par crainte du ridicule.
Mon opinion personnelle est que les OVNI devraient être traités sérieusement et étudiés sans le moindre préjugé. Différentes explications possibles pourraient exister, tels que des phénomènes atmosphériques rares, mais certains cas suggèrent sérieusement que les engins volants ont des caractéristiques qui vont bien au-delà de nos capacités terrestres. Si de tels cas pouvaient être prouvés comme tels, alors l’hypothèse extraterrestre deviendrait probablement l’explication la plus plausible pour ces engins avancés. Nous devons l’admettre, ceci est une possibilité fantastique mais non irrationnelle à la lumière des données que nous avons.

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Résumé de Parviz Jafari



Mon nom est Parviz Jafari et je suis un général de la force aérienne iranienne à la retraite.
A environ 23 heures dans la nuit du 18 septembre 1976, des habitants furent effrayés par l’observation d’un objet effectuant, à basse altitude, des cercles dans le ciel au-dessus de Téhéran, la capitale d’Iran. Il ressemblait à une étoile, plus grand et brillant. Cette observation fut rapportée à la tour de contrôle et à son responsable. Ce dernier a alerté le commandement de la Force Aérienne et le Député-Général Yousefi qui décida d’envoyer un F-4 en toute urgence.
Le pilote de ce premier appareil a perdu l’usage de ses instruments de bord et de communication lorsqu’il s’approcha de l’engin brillant. Il décida alors de rentrer. Environ dix minutes plus tard, ils décidèrent d’envoyer un second avion, lequel je pilotais. A ce moment, j’étais commandant d’escadrille. Je m’approchai de cet objet, qui émettait des flashs avec une lumière intense rouge, verte, orange et bleue, si brillante que je ne pouvais distinguer la structure de cet engin. La fréquence des flashs était extrêmement rapide, pareille à une lumière stroboscopique. Nous l’avons verrouillé au radar, il se situait à 30 degrés gauche, à une distance d’environ 40 kilomètres. La taille sur l’écran radar était comparable à un 707.
Quatre autres objets de formes différentes se sont séparées de l’engin principal et à des moments différents durant cette manoeuvre d’approche. Bien qu’ils furent très proches de moi, mes armes furent brouillées de même que ma communication radio. Un objet vint vers moi. J’ai pensé qu’il s’agissait d’un missile. J’ai alors tenté d’envoyer un leurre de missile mais le panneau est resté bloqué. Un autre objet m’a suivi alors que je prenais le chemin du retour. Un objet a atterri dans un endroit dégagé en émettant une lumière puissante grâce à laquelle le sable du sol était visible.

Nous pouvions entendre des appels d’urgence durant tout le trajet, ce qui a été rapporté par d’autres appareils de ligne survolant la zone à ce moment et après l’événement. Durant mon debriefing au quartier général, un colonel américain prit des notes mais je n’ai pas eu l’occasion de lui parler par après. Plus tard, un document qui a été classifié aux USA a été rendu public grâce au Freedom of Information Act. L’agence de renseignements de la défense a documenté cet événement avec force de détails, ce qui a été communiqué à la National Security Agency, la Maison Blanche et à la CIA. L’évaluation faite de ce cas souligne que nous sommes en présence d’un cas classique qui rencontre toutes les conditions nécessaires à une étude légitime du phénomène OVNI. Je serais heureux de répondre à vous questions et vous en dire davantage.

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Déclaration faite pour la conférence de presse au National Press Club, Washington, USA



Depuis le début de l’histoire chilienne, il existe des rapports relatifs à un phénomène inexpliqué, parfois appelé OVNI, observé dans notre ciel.
Depuis des années, nous avons amélioré notre capacité à expliquer nombre de ces observations, mais certaines demeurent sans explication logique ou scientifique. Pour cette raison, en octobre 1997, le département de l’Aéronautique civile, l’équivalent américain de l’administration fédérale de l’aviation, a instauré le comité pour l’étude des phénomènes aériens anormaux (CEFAA). Cette agence traite les meilleurs rapports de phénomènes aériens non identifiés en coopération avec des spécialistes de l’aéronautique.
En 2002, l’Armée de l’air chilienne m’a demandé de mener des recherches sur des phénomènes aériens anormaux, qu’elle connaissait comme réels, et leurs effets sur la sécurité aérienne. Je réussis mon examen de pilote militaire, et appris que l’armée de l’air chilienne dispose de nombreux rapports d’incidents relatés par des pilotes militaires impliquant des OVNI. Un lien officiel fut établi entre l’Armée de l’air et le CEFAA et, comme résultat, neuf cas officiels furent documentés. Ceci a permis de créer une prise de conscience parmi les équipages au sujet des OVNI et, à présent, ils coopèrent avec la sécurité aérienne et font rapport de toute situation anormale.

Un des cas les plus important impliquant l’aviation civile s’est déroulé en 1988, soulignant que l’objet non identifié représentait un danger pour les opérations aériennes. Un pilote de Boeing 737, lors d’une approche finale à l’aéroport de Tepual dans la ville de Puerto Monti, a brusquement été en contact avec grande lumière blanche entourée de vert et de rouge. La lumière évoluait dans la direction opposée de l’avion, venant droit sur lui. Le pilote a du rapidement effectuer un virage sur la gauche afin d’éviter la collision. Le phénomène a été observé par le personnel de la tour de contrôle.
En 2000, l’équipage d’un avion chilien de l’Armée, volant au sud de Santiago, a observé un objet en forme de cigare d’une couleur brillante grise. Il volait parallèlement à l’avion, sur sa droite, durant deux minutes et a disparu ensuite à très grande vitesse. Cet objet fut détecté par le radar du Centre de Contrôle de Santiago qui avait averti l’équipage quelques minutes avant l’incident.
Il est regrettable que le phénomène OVNI ait été mit à mal avec des informations fallacieuses, irréelles, et relayées par des personnes incompétentes aux médias. La question devrait être transférée pour des analyses scientifiques et spécialisées. À la lumière de ceci, nous devons à présent demander à tous les états qui travaillent dessus de manière sérieuse et factuelle, d’unir leurs efforts. Nous voudrions y inclure les USA. Cet effort de coopération nous aiderait à limiter les effets potentiellement négatifs des OVNI sur les opérations aériennes dans le monde. De nouveaux cas sont bien documentés par des pilotes, des aiguilleurs du ciels, des équipes d’opérations des aéroports mondiaux et d’autres qui, avec leur propre formation, peuvent déterminer si un objet volant a un comportement anormal ou non. L’origine réelle de ces engins demeure inconnue mais dès à présent, leur existence perturbe et met en danger l’aviation sur le globe, et nous devons répondre à ce danger.

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Résumé d’Oscar Santa Maria Huertas



Je m’appelle Oscar Santa Maria Huertas, pilote à la Force aérienne péruvienne et actuellement retraité.
Le 11 avril 1980 à 7h15 le matin, 1800 hommes étaient en formation à la Base aérienne de La Joya, Arequipa. Ils ont tous observé un objet stationnaire dans le ciel qui ressemblait à un ballon, à une distance d’environ 5 kilomètres et à approximativement 550 mètres d’altitude. Il apparaissait lumineux car réfléchissant la lumière du soleil.
Mon commandant m’a donné l’ordre de décoller dans mon Sukoi-22 et d’abattre l’objet sphérique. Il était situé dans un espace aérien secret, sans aucune autorisation, et nous étions inquiet à propos d’un éventuel acte d’espionnage. J’approchai l’objet et tirai 64 projectiles de 30 mm. Certains se dirigèrent vers le sol, les autres touchèrent l’objet en plein corps mais ils n’eurent aucun effet sur lui. Les projectiles n’ont pas montré d’effet de ricochet, ayant été probablement absorbés. Le tir nourri en forme de cône que j’ai donné ne laisse normalement rien d’intact sur son passage.
L’objet commença alors à prendre de l’altitude et à se distancier de la base. Lorsque je fus à environ 11.000 mètres, il stoppa brusquement m’obligeant à virer sur le côté tandis que j’étais à moins de 500 mètres de lui. je pris davantage d’altitude afin de l’attaquer par le dessus mais lorsque je pus verrouiller la cible et que je fus prêt à tirer, l’objet effectua une montée verticale très rapide éludant ainsi mon attaque. A deux autres reprises, lorsque l’objet était pris pour cible et stationnaire, il s’éloigna au dernier moment tandis que j’étais prêt à ouvrir le feu. Il éluda ainsi toujours mes attaques.
Je décidai de grimper à puissance maximale et à me placer au-dessus de l’objet mais il commença une montée presque parallèle. Lorsque j’atteins l’altitude de 19.000 mètres, il stoppa. A ce moment, je m’approchai à environ 90 mètres de l’OVNI. Il avait environ 9 mètres de diamètre. Il semblait comme émaillé, avec un dôme de couleur crème et une grande base métallique circulaire. Il n’avait aucun moteur, ni fumée, ni hublots, ni ailes ou antennes. Il y manquait les éléments classiques d’un avion et sans aucun système visible de propulsion. Ce fut à ce moment que je réalisai que ce n’était pas un engin espion mais un OVNI, quelque chose de totalement inconnu. Ma réserve de carburant était presque vide de sorte que je ne pouvais continuer l’attaque, la moindre manœuvre ou tenter de m’échapper. Je pris panique et pensais que c’était la fin. Je me calmai et contactai la base par radio et demandai si un autre avion pouvait venir observer l’engin, tout en tentant de cacher ma peur. Ils me répondirent par la négative étant donné que l’objet se trouvait à une altitude trop élevée et ils me demandèrent de revenir. Je laissai mon avion glisser en raison du manque de carburant en zigzaguant de manière à rendre toute poursuite de la part de l’OVNI plus difficile, en ayant toujours le regard sur les miroirs me permettant de voir s’il me suivait. Il ne le fit pas.
J’ai passé 22 minutes en manoeuvrant avec cet objet. Après avoir atterri, il demeura stationnaire dans le ciel durant deux heures, ce qui permit à quiconque de la base de l’observer.
Le département américain de la Défense a rédigé un document s’intitulant observation d’OVNI au Pérou. Il décrit l’incident et signale que l’origine de l’engin demeure inconnue.
Cela me donne toujours la chair de poule rien que d’y penser.

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Communiqué de presse : Pérou et l’incident de Chulucanas



Le premier cas d’une enquête sur un OVNI officiellement publique
Je suis le docteur Anthony Choy, membre fondateur du bureau d’enquête sur les phénomènes aériens anormaux (OIFAA) et enquêteur pour ce bureau. L’agence fut fondée par la force aérienne péruvienne en décembre 2001.
Je suis l’auteur du projet 33, la première étude intégrale sur les phénomènes OVNI au Pérou. J’ai voyagé aux quatre coins de mon pays durant trois années, parlé avec les témoins, obtenu des informations audiovisuelles telles que des photographes ou des vidéos et j’ai rassemblé des données pour cette étude.
Le 13 octobre 2001, au nord de la ville de Chulucanas, et en présence de centaines de personnes, huit sphères lumineuses d’une couleur rouge orange intense furent enregistrées en vidéo. Nous fûmes les premiers a obtenir cette vidéo et nous la communiquâmes à la force aérienne. Ces objets restèrent en suspension dans le ciel durant plus de cinq heures, bougeant d’une manière apparemment intelligente et dans un silence absolu jusqu’à leur disparition.
En février 2002, la Force aérienne m’a demandé d’enquêter sur ces observations.
Le colonel Jose Raffo Moloche, directeur des affaires aériennes et spatiales a, en février 2003, prit la responsabilité de l’incident dit Chulucanas et il a fait une déclaration publique en reconnaissant devant les médias que cet incident est le premier cas officiel d’enquête sur un OVNI au Pérou.
Les conclusions préliminaires relatives à ces observations sont que, bien que physiquement réelles, elles n’ont aucune explication. Ce cas demeure ouvert et l’enquête de manière indépendante.
Le paroxysme fut atteint le 6 août 2004 lorsque nous fûmes capables d’enregistrer en collaboration avec une chaîne de télévision américaine Univision, et ce durant 55 minutes, un objet d’une nature et origine inconnues, bougeant à grande vitesse dans le ciel, montant et descendant, de droite à gauche.
Je crois que la force aérienne péruvienne a opté pour le bon choix en ouvrant un bureau pour mener ces enquêtes. Les preuves que nous avons des cas d’OVNI et des incidents qui ont pris place dans notre pays montrent que le phénomène OVNI demeure l’un des plus grands défis pour notre connaissance actuelle en matière de science et de technologie.

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Résumé de Ray Bowyer



Bon après-midi mesdames et messieurs et merci d’être venus aujourd’hui. Mon nom est Ray Bowyer et j’ai été commandant de bord dans l’aviation civile. J’ai été invité ici même en raison des mes observations qui remontent à avril dernier, observations d’objets multiples et non identifiés à ce jour qui survolèrent la Manche et les îles de cette région. Cette rencontre dura 15 minutes avec le premier objet situé à environ 88 kilomètres de distance.
A proximité du premier objet apparu un second, de forme identique, et se situant en dessous du premier. Les deux objets présentaient la forme d’un disque aplati avec une zone plus sombre du côté droit. Il étaient d’un jaune brillant avec une lumière qui émanait d’eux. J’ai estimé leur distance à 1.600 mètres.
Je me sentais à la fois stupéfait et curieux mais, à environ 19 kilomètres de distance de ces objets, ils étaient si grands que j’étais heureux de descendre et d’atterrir.
Plusieurs passagers les ont aperçu, tout comme un pilote d’un autre avion de ligne se trouvant à 40 kilomètres plus au sud. Il est possible que des informations radar soient toujours sous enquête.
Une équipe dirigée par le Dr David Clarke a examiné ce cas et publiera très prochainement un rapport. Je comprends que, pour le moment, il n’y a aucune réponse qui permette d’expliquer ces observations.
J’ai noté les différences entre les systèmes britanniques et américain en matière d’enquête et de rapport. En effet, il semble que des attitudes opposées existent de par et d’autre de l’Atlantique et sont très différentes lorsqu’il s’agit de rendre compte et d’enregistrer ce type d’incident.
La loi de navigation aérienne est très claire: si un membre d’équipage d’un avion civil aperçoit un autre avion se situant à un endroit où il ne devrait pas être, cette situation doit être communiquée sans délais aux autorités compétentes.
Dans mon cas, l’autorité britannique de l’aviation civile a pris connaissance dans les 20 minutes de l’observation dont j’ai été le témoin, comme indiqué dans le journal de bord faxé directement au bureau compétent. Les militaires furent informés par la tour aérienne de Jersey Air au même moment. Ceci n’est en rien une option mais bien une obligation de réagir de la sorte.
Selon mon expérience, le fait d’avoir fait rapport de cet incident n’a eu aucun effet pervers. Il n’y eu aucun problème à en parler à la télévision britannique. De plus, ma société Aurigny Air Services m’a offert tout le support depuis ce moment. L’assistance de Jersey ATC en me fournissant les informations et aussi à l’équipe d’enquête a été très positive. Je ne me suis jamais senti en danger d’être ridiculisé parce que tout ce qui est contenu dans le rapport est réellement arrivé et il était de mon devoir de le communiquer.
J’ai entendu les nombreux témoins des observations à l’aéroport O’Hare de Chicago il y a un an, le 7 Novembre 2006. J’ai été surpris d’entendre la manière dont cette affaire a été traitée. Malgré le fait que de nombreux membres du personnel de l’aéroport et des pilotes ont pu être témoins d’un objet qui faisait du sur place au-dessus du terminal, il n’y eu aucune enquête de l’agence fédérale de l’aviation (FAA). Il apparaît même que des pressions ont été exercées sur les membres d’équipage par leur société afin qu’ils ne parlent pas de cet incident.
Ces témoins prirent peur de parler à propos de leurs observations à cause de risque pesant sur leur emploi. La FAA a déclaré aux témoins que ce qu’ils avaient vu n’est pas ce qu’ils pensaient avoir vu mais simplement des observations de phénomènes météo.
J’aurais été choqué si on m’avait dit que mes autorités compétentes s’opposaient à une enquête, ou si celles-ci me disaient que ce que je pensais voir n’est pas la réalité et qu’il s’agissait en fait de quelque chose de bien différent. Il semble bien que les pilotes aux USA soient habitués à ce genre de pratiques.
Je prie chaque membre d’équipage de faire rapport de leurs observations aussi vite que possible, sans hésitations et qu’on puisse compter sur lui/elle. C’est seulement lorsque des témoins clés, tels que des pilotes professionnels, font rapport aux autorités qu’une enquête de plus grande envergure sur ce phénomène pourra débuter.

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Résumé de Nick Pope



Mon nom est Nick Pope, ancien membre de cabinet du ministre de la défense britannique.
Le gouvernement britannique a, depuis 1950 reçu plus de 10.000 rapports d’OVNI. Le Ministère de la Défense est responsable de ce sujet car la recherche d’une preuve de l’existence de toute menace potentielle pour le Royaume Uni ou toute chose liée à la sécurité est du ressort de ce Ministère. Je fus chargé de dossiers liés à ces enquêtes entre 1991 et 1994.
La plupart des observations d’OVNI se sont révélées être des confusions avec des objets tels que des avions, des satellites ou des météorites mais, dans 5% des cas, aucune explication ne pu être trouvée. Ces cas comprennent les incidents impliquant des témoins fiables tels que des officiers de police et des pilotes ayant fait rapport d’incidents impliquant des objets manifestant des vitesses et des manœuvres excessives qu’aucun appareil militaire ne peut accomplir. D’autres cas comprennent une catégorie de cas d’OVNI avec traces radar et incidents où des photos et vidéos ont pu être réalisés sans qu’aucun expert du Ministère de la Défense n’ait pu établir de preuve qu’il s’agisse de faux.
Le Ministère de la Défense ne prend pas position quant à la nature du phénomène OVNI mais, en ce qui me concerne et aussi pour certains de mes collègues, nous étions convaincus personnellement que ces évènements ont une dimension importante en matière de défense, de sécurité nationale et de sécurité aérienne.
J’ai enquêté en mars 1993 sur un cas d’OVNI qui a été aperçu par plus de 60 témoins, incluant du personnel militaire dans deux bases de la Force Aérienne. Parmi les témoins se trouvaient une patrouille de la police aérienne de même qu’un officier météo ayant 8 années d’expérience. Ce dernier témoin a décrit un engin en forme de triangle et d’une taille approximativement située entre un c-i 30 et un Boeing 747. Il dit que l’engin émettait un murmure à basse fréquence et qu’il bougeait lentement au début, avant d’accélérer beaucoup plus rapidement qu’un avion militaire. Dans le rapport de mon chef de Division, il résume qu’il semblerait qu’il y ait des preuves lors de cet incident qu’un ou des objets d’une origine inconnue évoluaient au dessus du territoire britannique. Ce cas, publié sur le site du Ministère, mentionne également des demandes de renseignements provenant des autorités américaines, demandant si le Royaume Uni dispose d’un programme secret qui pourrait expliquer certaines observations d’OVNI impliquant de larges engins de forme triangulaire. Ceci est très intéressant, étant donné la position officielle du gouvernement américain qui est que les cas d’OVNI ne sont plus sujets à une enquête.
Le cas britannique le plus connu d’observation d’OVNI se déroula en 1980 et impliqua le personnel de la Force aérienne américaine de deux bases militaires situées au Royaume Uni. Plusieurs témoins virent un objet qui a atterri dans un lieu appelé Rendlesham Forest. Un compteur Geiger a été utilisé pour mesurer le niveau de radiation et les informations traitées sur le site d’atterrissage ainsi que l’analyse effectuée par l’unité de renseignements du Ministère de la Défense stipulent des niveaux enregistrés plus élevés que la normale. Nous avons la chance d’avoir deux témoins de ces événements avec nous aujourd’hui et je souhaite leur laisser la parole afin qu’ils puissent vous détailler les événements. Merci.

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Résumé de James Penniston



Mon nom est James Penniston, membre de la force aérienne américaine, à la retraite.
J’ai été affecté en 1980 à la plus grande division de chasseurs tactiques dans la Force Aérienne, RAF Woodbridge en Angleterre. J’étais l’agent de sécurité le plus gradé en charge de la sécurité de la base.
A cette époque, j’avais une habilitation de sécurité de niveau top secret (USA et OTAN) et j’étais responsable de la protection des ressources de guerre de la base.
Le 26 décembre 1980, peu après minuit, le sergent Steffens m’a fait rapport au sujet de lumières qui ont été aperçues à Rendlesham Forest, juste en dehors de la base. Il m’informa que quoiqu’il s’agisse, cela ne s’est pas écrasé…mais a atterri. J’ai minimisé ces informations et j’ai contacté le centre de contrôle de la base au sujet d’un avion qui se serait écrasé. J’ai alors donné ordre à Amn. Cabanzak, AIC Burroughs de me faire rapport sur cet incident.
Lorsque je suis arrivé à proximité de l’endroit supposé de l’accident, il est rapidement devenu évident que nous n’avions pas à faire au crash d’un avion ou de quelque chose à quoi nous aurions déjà fait état. Une lumière brillante émanait de l’objet sur le sol de la forêt. Alors que nous approchions à pied, la silhouette d’un engin triangulaire d’environ 3 mètres de long et d’environ 2 mètres de haut nous apparut. L’engin était intact et posé sur le sol dans une petite clairière.
Alors que trois d’entre nous se rapprochèrent de l’engin, nous commençâmes à rencontrer des problèmes radio. J’ai alors demandé à Cabasag de relayer les transmissions radio vers le centre de contrôle. Burroughs et moi même avons avancé vers l’engin.
Lorsque nous sommes arrivés sur l’engin de forme triangulaire, des lumières bleues et jaunes tourbillonnent à l’ extérieur comme si la surface de l’air qui nous entoure était chargée électriquement. Nous pouvions sentir ce phénomène sur nos vêtements, peau et cheveux. Rien dans ma formation ne m a préparé a ce dont nous étions témoins.
Comme dix minutes se sont écoulées sans agression apparente, j’ai conclu que l’engin n’était pas hostile pour mon équipe ou pour la base. En suivant le protocole de sécurité, nous avons terminé une investigation complète du lieu, y inclus un examen complet de l’engin. Cela comprend des photographies, des prises de notes et des relais radios via l’aviateur Cabansag vers le centre de contrôle comme exigé. Sur un côté de l’engin, on pouvait voir des symboles qui mesuraient environ 7,5 centimètres de haut sur 76 centimètres.
Ces symboles ressemblaient à des dessins, le plus large symbole étant un triangle qui était centré, au milieu des autres. Ils étaient gravés à la surface de l’engin qui était chaud et métallique au toucher.
Ce que j’ai senti durant cette rencontre ne correspond à aucun avion que j’ai eu l’occasion de voir auparavant.
Après environ 45 minutes, les lumières de l’engin commencèrent à s’intensifier. Burroughs et moi-même avons pris une position défensive éloignée de l’engin tandis qu’il décollait sans le moindre bruit ou turbulence atmosphérique. Il manoeuvra à travers les arbres et prit une vitesse incroyablement élevée. Il a disparu en un clin d’œil.
Dans mon carnet de bord (que j’ai avec moi ici) j’ai écrit, Vitesse: IMPOSSIBLE. Plus de 80 membres du personnel de la Force Aérienne, tous des observateurs entraînés et travaillant au 81ième squadron de police, ont été témoins du décollage.
Les informations acquises durant l’enquête furent transmises par les canaux militaires. On averti l’équipe et les témoins de considérer l’enquête comme étant de niveau top secret et toute discussion complémentaire ne serait plus autorisée.
Les photos qui ont été développées à la base, soit deux rouleaux de 35 mm, ont apparemment toutes été surexposées.

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Résumé de Charles Halt



Mon nom est Charles I. Halt. Je suis un colonel de la Force Aérienne des États-Unis à la retraite. Je fus le commandant de deux grandes infrastructures et au moment de ma retraite je fus directeur des Inspections pour le département de la Défense. A ce poste, je supervisais les enquêtes de tous les services et agences de défense.
Fin décembre 1980 je fus appelé pour enquêter sur un étrange événement qui a attiré notre Police de Sécurité de ses tâches principales. Très tôt dans la matinée, notre patrouille de police a découvert d’étranges lumières dans la forêt à l’est de la porte arrière de Woodbridge. Trois hommes furent envoyés dans la forêt afin de mener l’enquête. Ils découvrirent un engin étrange de forme triangulaire posé sur trois jambes. L’engin mesurait environ 3 mètres de côté. Il avait de nombreuses lumières. Il a rapidement manoeuvré et quitté la zone.
Je n’ai pas été immédiatement conscient des détails si ce n’est que l’on m’a dit que des lumières étranges s’y trouvaient et qu’il devait y avoir une explication rationnelle.
Deux nuits plus tard, ma fête de famille fut interrompue par le commandant. Il m’informa sur d’étranges événements et me demanda de venir. Puisque mon supérieur exige des résultats, j’ai été chargé d’enquêter. J’espérais bien trouver une explication.
Je pris deux officiers expérimentés de la police de Sécurité, un expert en préparation aux désastres et un commandant de Police en service. Sur le site furent trouvés une encoche et demi dans le sol, selon une forme triangulaire.
Nous avons découvert de légères radiations et une preuve (des branches cassées). Nous avons alors soudainement observé un objet ovale rouge orange avec un centre noir. Il me rappela une forme d’oeil comme s’il clignait. Il manoeuvra horizontalement au travers des arbres avec des mouvements occasionnels verticaux. Il recula lorsqu’il approcha et se divisa en silence en 5 lumières blanches qui ont brusquement disparu. Nous sommes sortis de la forêt vers une pâture et nous observâmes plusieurs objets avec de multiples lumières dans le ciel du Nord. Ils changèrent de forme, passant de la forme elliptique à ronde.

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Résumé de John Callahan



C’est à propos d’un événement qui ne s’est jamais produit que je vais vous parler.
Je suis John Callahan, et je fus le chef de division des accidents, des évaluations et de la division des enquêtes de l’Agence fédérale de l’aviation (FAA) durant 6 années, et ce dans les années quatre-vingts.
Début janvier 1987, je reçu un appel téléphonique de l’unité chargée de la qualité du contrôle du trafic aérien de la FAA, en particulier de son bureau régional d’Alaska, me demandant conseil afin de répondre aux demandes des médias. Ces derniers demandaient de l’information sur un OVNI qui prit en chasse, le 17 novembre 1986, un Boeing 747 dans le ciel de l’Alaska durant 31 minutes et qui vola à une altitude située entre 9.000 et 10.500 mètres. D’une manière ou d’une autre, quelqu’un a parlé.
Quel OVNI? Quand cela s’est-il passé? Pourquoi la centrale de Washington n’a pas été informée? Demandai-je.
Il répliqua “qui croit dans les OVNI?” J’ai juste besoin de savoir ce que je dois dire aux médias afin qu’ils me laissent tranquille. La réponse à la question était facile: Dis leur que tout est à l’examen en ce moment. Ensuite, il faut récolter toutes les informations - les enregistrements et les données du disque à la fois de la société et aussi des militaires. Il faut les envoyer au plus tard demain matin au centre technique de la FAA à Atlantic City au New Jersey.
Le vol 1628 de la Japan Air Lines, un vol cargo avec pilote, copilote et un membre d’équipage était juste au-dessus d'Anchorage et le pilote vit pour la première fois l’OVNI vers 23 heures. Il le décrivit comme une balle énorme avec des lumières circulant autour de lui. Il le décrivit 4 fois plus grand qu’un 747 et put le voir de ses yeux, de même que les deux autres membres d’équipage.
Durant cette course poursuite de 31 minutes, l’OVNI montait en quelques secondes, changeait de position autour du 747 en moins de temps qu’un seul balayage du radar.
Après avoir reçu les données d’Alaska presque deux mois plus tard, j’en ai informé mon supérieur Harvey Safer et l’administrateur l’Amiral Engen Safer et moi-même allâmes au centre technique de la FAA pour étudier l’enregistrement.
Plus tard dans la journée, j’ai demandé au spécialiste en automation de la FAA de tracer les échos radar le long de la route du vol. J’ai enregistré sur vidéo le diagramme résultant de cet exercice.
L’impression et l’enregistrement radar montraient les échos principaux dans les environs du 747. Ces échos furent dévoilées au même moment et au même endroit où se trouvait le pilote lorsqu’il observait l’OVNI.
Le contrôle manuel et radar ont tous deux observé l’écho principal. Les contrôleurs militaires ont également vu l’écho principal sur leur radar et l’identifièrent comme un second écho. Le pilote et l’équipage virent l’écho sur leur radar et ils furent capables d’apercevoir l’énorme OVNI au même moment où il s’approcha de leur avion.
Il aurait été très clair si cet appareil était un avion ennemi ou un avion militaire volant à une altitude incorrecte. La FAA dispose de procédures en place qui couvrent le suivi des avions non identifiés qui violent d’autres espaces aériens mais ne dispose d’aucune procédures relatives aux OVNI.
De retour au centre de la FAA, j’ai informé brièvement l’administrateur Engen et je lui ai montré la vidéo. Il organisa une réunion avec l’équipe scientifique du Président Reagan et il m’annonça que mon rôle était de leur donner une présentation sous forme de show et de leur remettre cet incident dans leurs mains vu que la FAA ne traite pas d’OVNI.
J’apportai une copie de la vidéo et toutes les informations imprimées étant disponibles.
Un des scientifique me posa une série de questions, tel que les caractéristiques du radar, sa fréquence, sa longueur d’ondes, la formule de calcul de l’altitude…Je fus impressionné par la réponse donné par les experts de la FAA. A la fin, une des trois personnes de la CIA dit que cet incident ne s’est jamais produit, que nous n’étions jamais venu ici, que nous nous verrions toute information relative confisquée et que nous jurions le secret sur cette affaire.
De quoi pensez-vous qu’il soit question ? Demandai-je à la personne de la CIA.
A un OVNI et ils ont plus de 30 minutes de radar à regarder, répondit-il.
Peu après le briefing, un rapport détaillé de la FAA qui comprenait les entrevues complètes avec le pilote e l’équipage ainsi que le diagramme préparé par le centre technique et les enregistrements audio arriva sur mon bureau et furent mis en attente d’une demande de la CIA pour obtenir davantage d’informations. Ces données y restèrent jusqu’à ce que je prenne ma retraite deux ans plus tard et je ne les ai jamais revues.
La plupart des personnes, y inclus les contrôleurs de la FAA, ne sont pas informés sur la manière dont un système radar de la FAA travaille et pourquoi tous les engins volants traversant notre espace aérien ne sont pas enregistrés sur radar ou montrés sur les appareils de contrôle PVD. Mais je le suis.
Le système et l’organisation de la FAA ne sont pas configurés de manière à identifier et à déceler certains types de performances ou prouesses.

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Discours final Fife Symington



Durant mon second mandat comme gouverneur de l’Arizona en 1997, je vis quelque chose qui défia toute logique et mit à défi ma perception de la réalité.
J’ai été témoin d’un énorme appareil en forme d’aile delta qui volant silencieusement au-dessus de Squaw Peak, un range de montagne situé à Phoenix, Arizona. C’était véritablement à couper le souffle.
A mon plus grand étonnement, cela est apparu et avait une structure solide réelle, incroyablement grande, avec un bord d’attaque distinct comprenant quelques grandes lumières et qui voyageait dans le ciel de l’Arizona.
Je ne connais toujours pas sa nature. En tant que pilote officier à la Force aérienne, je peux définitivement dire que cet objet ne ressemblait à aucun objet fabriqué de la main de l’Homme que j’ai eu l’occasion de voir au cours de ma vie.
Cet incident à été observé par des centaines de témoins, si pas des milliers en Arizona et mon bureau fut en état de siège en raison des nombreux appels de personnes inquiètes vivant en Arizona.
L’hystérie s’est amplifiée lorsque cette histoire a été rendue publique à l’échelon national. J’ai décidé de calmer les esprits en organisant une conférence de presse où mes supérieurs et mon équipe arriveraient en costume d’extra terrestres. Nous avons réussi à réduire le climat de panique mais au même moment à rendre furieux nombre de mes concitoyens.
Je voudrais dire les choses clairement. Je n’ai jamais voulu ridiculiser qui que ce soit. Mon bureau a réalisé des enquêtes sur l’origine de cet engin mais, jusqu’à ce jour, elles restèrent sans réponse.
Le Air National Guard Force a finalement prit la responsabilité en déclarant que leurs pilotes avaient lâché leurs balises lumineuses. Ceci est informatif sur l’attitude des canaux officiels. Nous recevons des explications qui vont à l’encontre des faits. Explications tels que des ballons météo, des balises lumineuses ou des gaz marécageux...
Je n’ai jamais été heureux de ce genre d’explications. Cela pourrait tout à fait avoir été des balises lumineuses militaires dans le ciel plus tard dans la soirée. Mais j’en ai vu des centaines et d’autres ont vu que cela n’avait rien à voir avec cela.
Je sais à présent que je ne suis pas le seul à avoir été témoin de quelque chose d’extraordinaire. Il y a de nombreux haut gradés de l’armée, de l’aviation et du personnel du gouvernement qui partagent mes préoccupations. Certains d’entre eux se sont joints à moi en ce jour ici même. Il n’y a absolument aucun doute sur la véracité des témoignages qui vont ont été faits. Ils ont combattu lors de guerres, protégé des arsenaux d’armes top secret et transportés d’innombrables passagers à travers les cieux du monde.
Ces incidents ne disparaissent pas. Il y a un an, l’aéroport de Chicago (O’Hare) a fait l’expérience d’un OVNI qui fit la une des journaux nationaux et internationaux. Des pilotes et de nombreux employés des compagnies aériennes ont observé un disque métallique survolant le terminal de United Airlines durant plusieurs minutes. Il est alors parti en toute vitesse, traversant les nuages. La FAA n’a pas enquêté, démissionnant en prétendant que cette observation est météorologique.
Nous voulons que le gouvernement américain stoppe de mettre en avant des histoires qui perpétuent le mythe que tous les OVNI peuvent être expliqués par des termes conventionnels et terrestres. Notre pays à plutôt besoin de rouvrir ses enquêtes officielles qui furent fermées en 1969. Le gouvernement américain ne peut pas se fermer au dialogue international sur ce sujet et nous invitons le gouvernement à coopérer avec les pays représentés à cette table.
Lorsque nous revenons aux événements de cette nature qui sont complètement non solutionnés, nous méritons davantage d’ouverture de la part du gouvernement, en particulier le nôtre.

Table des matières

Merci au Général De Brouwer qui a bien voulu nous communiquer ces informations et à Daniel Van Assche pour la traduction en français.


  1. http://www.meessen.net/AMeessen/Gileppe.pdf
  2. ibid.
  3. ibid.
  4. ibid.
  5. http://www.unsolved.com/ufo
  6. http://www.unsolved.com/ufo Séquence visible sur : Dailymotion